Déjà arrêtons avec cette formulation « la femme ». Il n’y en a pas qu’une, nous ne sommes pas une masse homogène mais bien toutes différentes.
Certaines sont sympa, malines, intelligentes, têtues, chaleureuses, déterminées, généreuses, froides, aimantes, égoïstes et d’autres comme moi sont tout ça en même temps et selon les humeurs.
Personnellement, je chéris ma liberté certainement plus que toute autre notion dans ma vie. Elle fait partie de mes valeurs essentielles et motrices et me définit en tant qu'individu et en tant que femme.
Cela veut dire que je ne fais pas les choses car je dois les faire, je les fais car je suis libre de les faire et que j’ai envie de les faire. Vous me suivez toujours ? (JJ. Rousseau ; sort de ce corps !).
Je me sens libre lorsque je suis moi-même et que je ne ressens aucune culpabilité à l’être. Qu’il s’agisse de ma personnalité, de ma façon de penser, de ma tenue, de mon attitude, de mon passé, de mes états, de mes comportements...
Je me sens libre lorsque je reste fidèle à moi-même et à mes principes, et que je ne change pas selon l’environnement autour de moi. J'ai plutôt tendance à chercher à changer l’environnement autour de moi.
J’ai parlé du philosophe des Lumières car il a défini la liberté comme l’absence totale de contraintes.
J'essaie de toujours rester libre dans mes choix et mes actions.
Cependant restons réalistes, il y a des moments où ça n’est pas le cas. Soit car je suis contrainte par cet environnement dont je parlais plus haut ; soit par le management, par des règles, par des process, par des attentes de mon entourage, par le politiquement correct etc.
Soit par une contrainte interne que je m'impose, et que je mets moi-même ces chaînes qui m’emprisonnent car je subis mes propres peurs, ou mes propres croyances limitantes. S'ensuit la révélation que je ne suis plus aussi libre, puis la frustration de me sentir prisonnière.
J’adopte une attitude, une sorte de contre-attaque (que j'appelle mon petit secret pour aller mieux) :
Vous la connaissez cette culpabilité de ne pas être à la hauteur, de ne pas dire le bon mot, de ne pas avoir la bonne attitude, de ne pas avoir la bonne réponse, de subir mes propres émotions, de ne pas être dans le contrôle, de ne pas être assez ci ou d’être trop ça.
Cette culpabilité de ne pas arriver à être libre, je la 'regarde' en face et lui dis d’aller gentiment voir ailleurs si j’y suis.
D'ailleurs heureusement que le but final n’est pas d’être parfaite, ni de réussir à tous les coups, ni d’avoir toujours réponse à tout. Ce serait tellement fatiguant à la longue...
En bref, comme l’a dit Cookie Dingler « être une femme libérée, tu sais c’est pas si facile ».🎵
HB Copywriting, spécialiste bilingue (FR/ENG) de communication et Copywriting, alias la créatrice de contenus qui vous ressemblent.
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